Le sacre du printemps a 100 ans. Peut-être qu'il faudrait, un siècle après, sacrifier à nouveau une jeune fille pour faire venir le soleil... Qui sait, Stravinsky a peut-être écrit cette pièce pendant un printemps pourri comme celui que nous vivons cette année...
A défaut de sacrifier qui que ce soit, je joue à l'apprentie sorcière dans mon jardin, entre deux averses. Je cueille ce que la nature -malgré tout généreuse- me donne, fait sécher amoureusement et tente des cocktails improbables.
Dans ma tasse il y aura des pétales de roses, des fleurs de sauge et des feuilles de menthe citronnée.
oohhh ne donne pas ce genre d'idees...certains seraient capables de le faire.....en tout cas jolie ramassage...;)
RépondreSupprimerOh mais c'est tellement chouette, ça !
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