vendredi 27 juillet 2012

le syndrome du petit pois

Piètre couturière (vous vous en êtes forcément rendu compte à suivre mes tribulations bloguesques), je ne fais que des carrés, des rectangles, des tubes... Parallélépipèdes ou pas, les taies d'oreillers en font partie. J'écoule mes stocks de tissu en revisitant nos nuits qui vont se parer de grosses fleurs vintage, de tartan et de rayures rebrodées qui me font penser, à tort ou à raison, à de l'artisanat grec. Bref, les oreillers des villas de loc en bord de mer auront bonne mine cet été, que la princesse qui sommeille en moi dorme sur ses deux oreille(rs)...
Et puis parce que j'adore depuis l'enfance cette expression, voici l'ultime petit sac taillé dans une jupe aux coloris "demi-deuil".  Cet imprimé me rappelle les robes-tabliers des vieilles de mon enfance qui quittaient, après un temps défini par la bienséance,  le noir de leur condition de veuve pour ces teintes discrètes. Ce sac n'est pas pour moi, c'est une commande pour celle qui m'accompagne à Venise. Elle aime les couleurs passe-partout, les fondus qui s'accordent avec sa garde-robe. L'audace sera pour elle de porter un accessoire fleuri mais pas trop. Mission accomplie je crois. En tout cas il lui plait...


3 commentaires:

  1. bin au moins tu couds...et c sympa comme tout ces coussins.....adorable ce sac...j'aime bien...;o)

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  2. Mais elles sont trop chouettes tes taies, elle va être cosy ta loc de vacances !

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  3. C'est une superbe idée, je sens que moi aussi je vais me mettre à la couture de taies d'oreiller ..
    Les tiennes snt très belles !

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